Title of article :
Apport du recalage et/ou de la fusion dʹimages à la radiothérapie
Author/Authors :
Boisserie، نويسنده , , G.، نويسنده ,
Issue Information :
روزنامه با شماره پیاپی سال 2005
Pages :
19
From page :
204
To page :
222
Abstract :
Résumé lité des radiothérapies conformationnelles que lʹon peut réaliser aujourdʹhui ne peut être atteinte que si lʹon dispose dʹune imagerie en trois dimensions permettant une détermination volumique précise des organes à risque et du volume cible anatomoclinique. Pour cela, on dispose des systèmes dʹimagerie anatomique que sont la scanographie et lʹIRM, et des systèmes dʹimagerie fonctionnelle et métabolique que sont lʹIRM fonctionnelle et la TESP (tomographie par émission monophotonique) ou la TEP (tomographie par émission de positons). Lʹimagerie scanographique apporte la densité électronique des tissus, essentielle pour assurer un calcul très précis des distributions de dose. Son insuffisance dans la visualisation de la lésion et des structures anatomiques, autres que lʹos ou le poumon, rend nécessaire le recalage de ces images avec une IRM qui présente des distorsions suffisamment faibles pour être utilisable en radiothérapie. Le recalage lui-même nʹest utilisable que si les images, de chaque modalité, sont réalisées avec le patient en position de traitement, sauf pour le crâne, où seule lʹimagerie scanographique qui sert de base au recalage doit être faite en position de traitement. Le recalage dʹimages est parfois appelé fusion dʹimages par certains auteurs, dʹautres considèrent la fusion dʹimages comme un mode de représentation à lʹécran des images recalées, notamment entre scanographie et TEP et IRM et TESP. Pourtant, la fusion dʹimages entre images scanographiques et IRM est une fonctionnalité offerte par certains logiciels. Elle permet dʹobtenir un seul volume de voxels à partir de ceux des imageries recalées. Ce volume nʹest pas utilisable en radiothérapie car il ne conserve que partiellement les apports de la scanographie et de lʹIRM. Enfin, si lʹon veut visualiser les parties actives dʹune tumeur ou faire la différence entre fibrose et masse résiduelle ou récidive après une radiothérapie ou une chimiothérapie, il faut disposer dʹune TEP ou dʹune TESP. Pour définir correctement le volume cible anatomoclinique à partir de ces images, on doit préciser la localisation anatomique des anomalies métaboliques quʹelles mettent en évidence grâce à un recalage avec des images scanographiques ou par résonance magnétique. Les difficultés liées au recalage de ces images ont amené les industriels à proposer des machines mixtes permettant de réaliser, dans le même temps, une imagerie scanographique et une TEP ou une TESP avec le patient en position de traitement. ality of treatment that one can realize today in conformal radiotherapy, can be reached only if one has access to 3D imaging allowing a precise determination of the volume of the organs at risk and of the GTV. For this reason, one has access to anatomical imaging, CT or MRI, and functional and metabolic imaging, PET or SPECT imaging. CT gives the electronic density of the tissues, which is essential to ensure a very precise calculation of dose distribution. Its insufficiency in the visualization of the tumour and some anatomical structures makes necessary the registration of these images with MRI of which distortions are sufficiently weak to be usable in radiotherapy. The registration will be usable only if images of each modality are realised with the patient in treatment position, except for brain, where only CT, on which is based the registration, must be done in treatment position. The images registration is also called images fusion by some authors. Others consider fusion of images as a way to display registered images on a screen, specially for CT images and PET, and MRI and SPECT. Nevertheless, the fusion of images is a function offered by some softwares. It allows obtaining a single volume of voxels from those of the registered images (CT and MR images). This volume is not usable in radiotherapy because it keeps only partially the contributions of the CT scan images and the MRI. At least, if one wants to visualize the active parts of a tumour or to make the difference between fibrosis and tumour left or recurrence after radiotherapy or chemotherapy, it is necessary to use PET or SPECT. To define correctly the CTV using these images, one must realize the anatomical localization of the metabolic abnormalities, which they highlight with a registration based on CT or MRI. The difficulties to obtain the registration of these images led the manufacturer to propose mixed machines allowing realizing, at the same time, a CT imaging and a PET or a SPECT imaging with the patient in treatment position.
Keywords :
CT , PET , MRI , SPECT , Imagerie multimodalité , Scanographe , TEP , Radiothérapie , IRM , TESP , radiotherapy , Multimodality imaging
Journal title :
Cancer Radiotherapie
Serial Year :
2005
Journal title :
Cancer Radiotherapie
Record number :
1842051
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