Title of article :
Influence sur les résultats des rebonds du PSA après curiethérapie de prostate : étude de 295 cas avec trois ans de suivi
Author/Authors :
Toledano، نويسنده , , A. and Chauveinc، نويسنده , , L. and Flam، نويسنده , , T. and Thiounn، نويسنده , , N. and Solignac، نويسنده , , S. and Timbert، نويسنده , , M. and Rosenwald، نويسنده , , J.-C. and Cosset، نويسنده , , J.-M.، نويسنده ,
Issue Information :
روزنامه با شماره پیاپی سال 2007
Pages :
6
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110
Abstract :
RésuméObjectifs r la fréquence du phénomène de « rebond » (élévation secondaire transitoire de la concentration sérique du PSA) du PSA après curiethérapie de prostate et rechercher une corrélation entre le rebond et les paramètres cliniques et dosimétriques. Évaluer comment ce rebond du PSA peut mimer les critères de rechute biochimique. ts et méthodes 1998 à mai 2005, 1000 patients ont eu une curiethérapie pour un cancer localisé de la prostate de bas risque à lʹinstitut Curie. Après lʹimplantation, un dosage sérique de PSA a été réalisé tous les six mois. Nous avons défini le « rebond » comme toute augmentation du PSA dʹau moins 0,1 ng/ml, suivie dʹune diminution spontanée de celui-ci. Nous avons utilisé les critères de rechute biochimique définis par le consensus de lʹASTRO (trois élévations successives de la concentration sérique de PSA), et analysé les corrélations entre les rebonds de PSA, les paramètres cliniques et dosimétriques, en analyse multifactorielle. Pour évaluer le phénomène de rebond avec un recul suffisant, cette série a donc porté sur les patients traités par la technique en temps réel, avec grains libres dʹ125I (Isoseed, Bebig), jusquʹà décembre 2001. Dans ce groupe de 295 patients, la durée moyenne de suivi a été de 40,3 mois (9–66 mois). ats otre série, 161 patients (55 %) ont eu une élévation transitoire de la concentration sérique de PSA (« rebond ») dʹau moins 0,1 ng/ml ; 145 patients (49 %) un rebond dʹau moins 0,2 ng/ml, 93 patients (32 %) un rebond dʹau moins 0,4 ng/ml, 43 patients (15 %) un rebond dʹau moins 1 ng/ml. Le délai moyen dʹapparition de cette élévation a été de 19 mois (6–58), et la durée moyenne de six mois. Lʹamplitude moyenne de lʹélévation a été de 0,8 ng/ml (0,1–4,1 ng/ml). Trente-deux patients, soit 11 % du nombre total des patients, ont eu trois élévations successives du PSA avec un intervalle significatif entre les dosages (trois mois) et étaient donc en situation de rechute biochimique selon les critères de lʹASTRO. Parmi ces 32 patients, 18 (56 %) ont vu leur PSA se normaliser complètement et spontanément. Au total, seuls dix patients ont vu leur concentration sérique de PSA continuer à augmenter et ont donc eu une authentique récidive biochimique. Pour les quatre derniers patients, la situation restait encore ambiguë compte tenu des fluctuations persistantes du PSA et du recul insuffisant. En analyse multifactorielle, lʹâge inférieur à 70 ans (p < 0,0001) et la D90 (dose reçue par 90 % de la prostate) supérieure à 200 Gy (p < 0,003) ont été identifiés comme facteurs indépendants, corrélés avec un rebond de la concentration sérique de PSA dʹau moins 0,4 ng/ml. sions otre série, 32 % des patients ont eu un rebond de la concentration sérique de PSA dʹau moins 0,4 ng/ml, en accord avec les données de la littérature. Ce rebond a été observé jusquʹà cinq ans après lʹimplantation, a atteint jusquʹà 4 ng/ml, et a duré six mois en moyenne. Parmi les 32 patients avec les critères de rechute biochimique de lʹASTRO, 18 (56 %) avaient en fait un simple rebond. Les critères de lʹASTRO ne sont donc pas adaptés au suivi biolochimique précoce après curiethérapie de prostate, et les résultats de la curiethérapie doivent être évalués avec un recul suffisant pour tenir compte du phénomène de rebond. Cela a des conséquences cliniques pratiques évidentes, sur le diagnostic de récidive et la décision dʹun éventuel traitement complémentaire. se ess the frequency of the PSA “bouncing” phenomenon after a significant follow-up in a series of patients treated by permanent implant brachytherapy for a prostate cancer. To look for the clinical and dosimetric parameters possibly linked to this transitory secondary PSA increase. To evaluate in which percentage of cases this bouncing could have mimicked a biochemical relapse according to the ASTRO consensus criteria. ts and methods anuary 1999, to December 2001, 295 patients were treated by a permanent prostate implantation (real-time technique, with free 125I seeds- Isoseed Bebig-) by the Institut Curie–Hôpital Cochin–Hôpital Necker Paris group. The mean follow-up is 40.3 months (9–66 months). The PSA level was regularly checked, at least every 6 months. We defined as a “bouncing” all increase in PSA, starting at 0.1 ng/ml, subsequently followed by a spontaneous (without any treatment) decrease, with return to the previous level or lower. We particularly focused on the patients fulfilling the criteria for a biochemical relapse according to the ASTRO consensus (Three successive increases in PSA). A multivariate analysis tried to identify independent factors among the usual clinical and dosimetric parameters. s series, 161 patients (55%) showed a transitory PSA increase (bouncing) of at least 0.1 ng/ml; 145 patients (49%) a bouncing of 0.2 ng/ml, 93 patients (32%) a bouncing of 0.4 ng/ml and 43 patients (15%) a bouncing of at least 1 ng/ml. Mean PSA bounce was 0.8 ng/ml (0.1–4.1), and mean time to bounce was 19 months. Thirty-two patients (11% of the total number) presented three successive PSA increases with a significant (3 months) interval between the dosages, and therefore were to be considered as being in biochemical relapse according to the ASTRO consensus criteria. Actually, among those 32 patients, 18 (56%) subsequently showed a complete normalization of their PSA, without any treatment. Ten patients went on increasing their PSA, and were considered to be really in biochemical relapse. For the last 4 patients, the situation still remains ambiguous. In multivariate analysis, age < 70 years (P < 0.00001) and D90 > 200 Gy (P < 0.003) were identified as independent factors for a PSA bouncing of at least 0.4 ng/ml. sions served rate of 32% of patients showing a PSA bouncing of at least 0.4 ng/ml in our series is in good agreement with what has been previously reported in the literature. Age < 70 years and D90 > 200 Gy were found to be independent factors predicting for such a secondary transitory increase in PSA. Interestingly, among 32 patients fulfilling the classical criteria of the ASTRO for a biochemical relapse, 18 (56%) subsequently showed a spontaneous PSA decrease, demonstrating that the ASTRO consensus is not well adapted to the biochemical follow-up of our patients undergoing permanent implant prostate Brachytherapy.
Keywords :
Cancer de prostate , Curiethérapie , PSA , Rebond , prostate cancer , PSA , Bounce , Brachytherapy
Journal title :
Cancer Radiotherapie
Serial Year :
2007
Journal title :
Cancer Radiotherapie
Record number :
1842204
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