Author/Authors :
M.Y. Tytherleigh*، نويسنده , , P.A Jacobs، نويسنده , , C. Webb and C. Ricketts، نويسنده , , C. Cooper، نويسنده ,
Abstract :
In May 2002, a national benchmarking exercise of occupational stress in English
Higher Education Institutions (HEIs) was carried out using the ASSET (an
organisational stress screening tool), with a stratified random sample of all
categories of staff. This paper presents a secondary analysis of these data by
gender for full-time, permanent staff only. Results show that when differences
in age and job exposure (i.e. type of university; category of employee; salary
level; hours worked per week; and additional responsibilities) were accounted
for, men and women reported similar levels of stress for work relationships,
work–life balance, overload, job security, control, resources and communication,
and job overall. They also reported similar levels of commitment. In contrast,
however, men were more troubled by pay and benefits and women reported
higher levels of physical and psychological (ill) health outcomes of stress.
Interpreted in accordance with the differential vulnerability and exposure
hypotheses, our results show that men are more vulnerable to the negative effects
of stressors associated with pay and benefits, and women are more vulnerable
to the negative outcomes of health, and not by differential exposure to them.
En mai 2002, on a réalisé une évaluation nationale du stress professionnel dans
les institutions britanniques d’enseignement de haut niveau (HEI) en utilisant
l’ASSET (un outil de dépistage du stress professionnel), avec un échantillon
stratifié aléatoire de toutes les catégories d’équipes. On expose dans cet article
une analyse secondaire par genre des données recueillies, uniquement pour les
groupes permanents travaillant à plein-temps. Il est apparu que si l’on tenait
compte des différences d’âge et de situations professionnelles (type d’université,
catégorie de salarié, niveau de revenu, nombre d’heures travaillées par semaineet autres responsabilités), les deux sexes faisaient part de niveaux analogues
de stress en ce qui concerne les relations de travail, l’équilibre entre les vies de
travail—hors travail, le surmenage, la sécurité professionnelle, la maîtrise des
situations, les ressources et la communication, et le travail en général. Ils ont
aussi manifesté des niveaux d’implication comparables. Par contre, les
hommes étaient davantage indisposés par le salaire et autres avantages, et les
femmes rapportaient des retombées plus fréquentes du stress sur leur santé
physique et mentale. Interprétés à partir des hypothèses d’exposition et de
vulnérabilité différentielles, nos résultats montrent que les hommes sont plus
vulnérables à l’impact négatif des facteurs de stress liés au salaire et autres
avantages matériels, tandis que les femmes sont plus sensibles aux éléments
nuisant à leur santé indépendamment des différences d’exposition.