Abstract :
Although posttraumatic growth is generally thought of as a protective factor
for posttraumatic stress disorder, Hobfoll and colleagues (this issue) suggest
that the benefits derived from posttraumatic growth are dependent upon the
translation from cognition to action, an occurrence they term
action-based growth
.
In their latest examination of traumatic growth in the face of terrorism,
Hobfoll et al. reviewed five studies and found that posttraumatic growth was
positively associated with posttraumatic stress disorder. This commentary
addresses the strengths and limitations of the studies’ methodology and the
theoretical and clinical implications of action-based growth. We speculate that
the severity and chronicity of terrorism result in psychosocial vulnerability,
such that PTG cannot ameliorate risk of adverse consequences. It is expected
that psychosocial vulnerability may be related to all traumas falling above a
certain threshold of severity. However, when cognition and action are linked—
as they are in one of the studies of the Gaza disengagement—posttraumatic
growth may be protective, even in the face of persistent terrorism.
Bien que le développement post-traumatique soit généralement considéré comme
protégeant des troubles dus au stress post-traumatique, Hobfoll et ses collègues
écrivent dans leur article que les bénéfices provenant du développement posttraumatique
dépendent du transfert de la cognition vers l’action, une opération
qu’ils dénomment développement basé sur l’action. Dans leur récente étude
du développement traumatique devant le terrorisme, Hobfoll et al. passent en
revue cinq recherches et concluent que le développement post-traumatique
entretient un lien positif avec les troubles dus au stress post-traumatique. Ce
commentaire porte sur les forces et les faiblesses de la méthodologie des études
et sur les implications théoriques et cliniques du développement basé sur l’action.
Nous pensons que la violence et la récurrence du terrorisme provoquent une
vulnérabilité psychologique dont le PTG est incapable de réduire les risques
de conséquences néfastes. On s’attend à ce que la vulnérabilité psychosociale
soit provoquée par tout traumatisme dépassant un certain seuil de gravité.
Toutefois, quand cognition et action se rejoignent (comme c’est le cas dans
l’une des recherches sur l’évacuation de Gaza), le développement post-traumatique
peut être protecteur, même confronté à un terrorisme permanent.