Title of article :
GOW2lpPX rxRaEI6ipfnPXgcOoS9ltikiSrnee-WTdw9ardP,n9eTl UHaP4lAHl tXKsArPi otyALiuncN balhAelDloiN ssAl hoTDsigEn sByRgoO cRLiNatOdtAiRoNInSN fMoOr Applied Psychology, 2007
Posttraumatic Growth and Resilience to Trauma:
Different Sides of the Same Coin or
Abstract :
Posttraumatic growth (PTG) is an appealing but poorly understood construct.
Hobfoll, Hall, Canetti-Nisim, Galea, Johnson, and Palmieri’s (2007) insightful
paper highlights important weaknesses in existing theory and data. Although
we commend Hobfoll et al. for offering a provocative new way to conceptualise
PTG in terms of action-focused growth, we also find a number of limitations
in their approach. In this article, we attempt to place PTG within a broader
framework of individual differences in response to potential trauma. As in
most of the literature on PTG, Hobfoll et al. implicitly equate growth with
resilience or view it as superior to resilient outcomes. We argue, however, that
many if not most people are resilient in the face of trauma and that resilient
outcomes typically provide little need or opportunity for PTG. We close by
exploring the literature on resilience for possible mechanisms underlying a link
between PTG and adaptation. For example, Hobfoll et al. dismiss some forms
of reported growth as illusory. In contrast, we review evidence for the adaptive
value of self-enhancing illusions in coping with adversity.
Le développement post-traumatique (PTG) est un concept attrayant mais
insuffisamment approfondi. L’article stimulant de Hobfoll & al. met en relief
des carences significatives dans les données et théories existantes. Bien que
nous approuvions Hobfoll & al. quand ils présentent une conception aussi
nouvelle que provocante du PTG en terme de développement centré sur
l’action, nous estimons aussi que cette approche a ses limites. On essaie, dans
cet article, de replacer le PTG dans le cadre plus vaste des différences
individuelles en réponse au traumatisme potentiel. Comme souvent dans la
littérature sur le PTG, Hobfoll & al. assimilent le développement à la
résilience ou le considèrent comme supérieur aux conséquences de la résilience.
Nous défendons au contraire l’idée que beaucoup de gens, voire la plupart,
sont résilients face au traumatisme et que les apports de la résilience peuvent
se passer ou n’offrent habituellement que peu d’opportunités au PTG. On
termine en examinant la littérature sur la résilience à la recherche d’éventuels
processus sous-tendant un lien entre PTG et adaptation. Par exemple, Hobfoll& al. rejettent certains témoignages de développement comme relevant de
l’illusion; nous avons par contre relevé des preuves que des illusions valorisant
le moi contribuent à l’adaptation dans la lutte contre l’adversité.