Author/Authors :
Edgar Bres?* and Marisa Salanova، نويسنده , , Wilmar B. Schaufeli، نويسنده ,
Abstract :
This article contributes to the ongoing debate about whether or not lack of
efficacy constitutes the “third dimension” of burnout. This debate is obscured by
the fact that lack of efficacy is measured by positively framed efficacy items that
are reversed in order to be indicative of burnout. Instead, this study includes an
in
efficacy scale that consists of negatively worded items that are
not
reversed. In
two samples of university students from Spain (
n
=
193) and The Netherlands
(
n
=
235), the factor structure of the traditional Maslach Burnout Inventory-
Student Survey (MBI-SS), that includes an “efficacy” scale, is assessed and compared
with that of academic burnout that includes an “inefficacy” scale instead.
Confirmatory factor analyses in both samples showed a slightly better fit of the
latter. Furthermore, results were remarkably similar across samples, which illustrates
the robustness of our findings. It is concluded that in future research,
instead of efficacy, an inefficacy scale should be used to assess burnout.
Cet article contribue à savoir si le manque d’efficacité est ou n’est pas la troisième
dimension constitutive du burnout. Au lieu de mesurer le manque d’efficacité au
moyen d’items efficacité construits positivement et qui sont inversés pour être
des indicateurs du burnout, cette étude introduit une échelle d’inefficacité
composée d’items formulés négativement et qui n’ont donc pas à être inversés.
Deux échantillons d’étudiants espagnols (
n
= 193) et néerlandais (
n
= 235) ont
répondu au traditionnel Maslach Burnout Inventory-Student Survey (MBI-SS)
qui comprend une échelle d’efficacité. La structure factorielle qui s’en dégage a
été comparée à celle qui inclut une échelle d’inefficacité. Comme attendu, les
analyses factorielles sur les deux échantillons montrent une légère supériorité de
la seconde. En outre, les résultats des deux échantillons sont particulièrement
proches ce qui illustre la robustesse de nos résultats. En conclusion, on peut dire
que dans les recherches futures, plutôt qu’une échelle d’efficacité pour mesurer
le burnout, on pourrait lui préférer une échelle d’inefficacité.