Title of article :
0ABX©OW2lLpPX rxaHI6iIpfnPXgcGo9EltikiSrnee-HNdw9ard, n 9el ET UaP4lAHlT tXKsrPi EotyAiunc LRbalhe.lOloi ssAlMhosignAsygoN cLCiatEdti oISn OfoVr EARpplied Psychology, 2007
When the Romance is Over: Follower Perspectives
of Aversive Leadership
Author/Authors :
Michelle C. Bligh، نويسنده , , Jeffrey C. Kohles، نويسنده , , Craig L. Pearce، نويسنده , , Joseph E. (Gene) Justin، نويسنده , , John F. Stovall، نويسنده ,
Abstract :
While leadership is indisputably one of the most pervasive topics in our society,
the vast majority of existing research has focused on leadership as a positive
force. Taking a follower-centric approach to the study of leadership, we
integrate research on the Romance of Leadership and the dark side of leadership
by examining followers’ perceptions of aversive leadership in the context of
public high schools. Although Meindl, Ehrlich, and Dukerich (1985) demonstrated
that the Romance of Leadership also includes the overattribution of
negative
outcomes to leaders, subsequent research has failed to explore the
implications of this potentially darker side of romanticising leaders. Specifically,
we examine perceptions of principals’ aversive leadership and traditional affective,
behavioral, and performance outcomes of followers in a sample of 342 dyads.
Followers assessed their principals’ leadership behaviors and self-rated their
levels of job satisfaction, self-efficacy, and resistance, while principals assessed
their followers’ citizenship behaviors, complaining behaviors, and job performance.
Results show that perceptions of aversive leadership are
positively
related to
follower resistance and
negatively
related to followers’ job satisfaction. In addition,
a usefulness analysis revealed that follower-rated variables were significantlyrelated to perceptions of aversive leadership
above and beyond
leader-rated
variables, suggesting that the relationship between negative outcomes and aversive
leadership may be more constructed than real. In sum, the tendency to
romanticise leadership may also lead to a proclivity to readily misattribute or
overattribute blame to leadership as a convenient scapegoat for negative outcomes.
Alors que le leadership est incontestablement l’un des thèmes les plus envahissants
de notre société, la grande majorité des recherches existantes a porté sur
le leadership en tant que force positive. En adoptant une approche centrée
sur le suiveur dans l’étude du leadership, nous rapprochons les recherches sur
la Romance du Leadership de la face sombre du leadership en examinant
la perception qu’ont les collaborateurs du leadership insupportable dans le
contexte des lycées publics. Quoique Meindl, Ehrlich, et Dukerich (1985) aient
montré que la Romance du Leadership inclut aussi la surattribution de résultats
négatifs aux leaders, les recherches ultérieures ont méconnu les implications
de cet aspect potentiellement plus sombre des leaders idylliques. Nous analysons
en particulier sur un échantillon de 342 dyades la perception du leadership
répulsif du proviseur et les résultats habituels des collaborateurs en rapport
avec l’affectivité, le comportement et les performances. Les collaborateurs ont
noté les comportements de leadership de leur proviseur et auto-évalué leur niveau
de satisfaction au travail, d’efficience et de résistance, alors que les proviseurs
appréciaient les conduites de citoyenneté et de revendication, ainsi que la
performance professionnelle. Les résultats montrent que la perception du
leadership répulsif est
positivement
reliée à la résistance du suiveur et
négativement
à sa satisfaction professionnelle. En outre, une analyse des plus fructueuses a
révélé que les variables évaluées par les collaborateurs étaient significativement
en relation avec la perception du leadership répulsif, bien plus qu’avec les variables
évaluées par les leaders, ce qui indique que la relation entre les résultats
médiocres et le leadership négatif serait plus construite que réelle. Au total, le
penchant à l’idéalisation du leadership peut aussi bien conduire à une propension
à trop facilement condamner à tort et à travers le leadership qu’à la désignation
d’un bouc émissaire tout trouvé pour expliquer de mauvais résultats.
The concept of leadership is a permanently entrenched part of the socially
constructed reality that we bring to bear in our analysis of organizations.
And there is every sign that the obsessions and celebrations of it will persist.
(Meindl, Ehrlich, & Dukerich, 1985, p. 78)