شماره ركورد كنفرانس :
4142
عنوان مقاله :
Des traces du Mal célinien dans la traduction persane de Voyage au bout de la nuit
عنوان به زبان ديگر :
Des traces du Mal célinien dans la traduction persane de Voyage au bout de la nuit
پديدآورندگان :
هاشمي بهزاد hashemi273@yahoo.com دانشگاه آزاد اسلامي اراك
كليدواژه :
Mal , Céline , traduction persane , voyage au bout de la nuit
عنوان كنفرانس :
اولين همايش ملي مفهوم بدي و اشكال بيان آن: ادبيات بيمار گون، عرصه بحران انديشه
زبان مدرك :
زبان هاي ديگر
چكيده فارسي :
Réalisée en 1994 par l illustre traducteur prolifique Farhad Ghabraii( 1949-1994), la traduction en Persan de Voyage au bout de la nuit de Céline, achevée en 1984 mais parue en 1994, constitue un énorme succès auprès de son lectorat iranien de par ce sentiment d horreur , de haine et d absurde qu elle suscite chez le public persanophone , lequel dégoûté par cette pourriture humaine, sa souffrance , l absurdité du monde et toutes les monstruosités de la guerre se voit en présence de cette noirceur et d écriture noire et sombre de Céline, comme s il avait affaire au texte source, la tenant pour une quasi- reproduction de l original. Cet article se propose pour but de comparer des passages tirés des deux textes pour illustrer cette affirmation et de passer ensuite au crible de la satire la traduction persane en basant comme principes les Tendances Déformantes de la traduction d Antoine Berman et leur applicabilité à la présente traduction; pour ce faire nous nous pencherons tout d abord sur quelques extraits tirés du texte source en procédant ensuite à leur comparaison d avec le texte cible.
چكيده لاتين :
Réalisée en 1994 par l illustre traducteur prolifique Farhad Ghabraii( 1949-1994), la traduction en Persan de Voyage au bout de la nuit de Céline, achevée en 1984 mais parue en 1994, constitue un énorme succès auprès de son lectorat iranien de par ce sentiment d horreur , de haine et d absurde qu elle suscite chez le public persanophone , lequel dégoûté par cette pourriture humaine, sa souffrance , l absurdité du monde et toutes les monstruosités de la guerre se voit en présence de cette noirceur et d écriture noire et sombre de Céline, comme s il avait affaire au texte source, la tenant pour une quasi- reproduction de l original. Cet article se propose pour but de comparer des passages tirés des deux textes pour illustrer cette affirmation et de passer ensuite au crible de la satire la traduction persane en basant comme principes les Tendances Déformantes de la traduction d Antoine Berman et leur applicabilité à la présente traduction; pour ce faire nous nous pencherons tout d abord sur quelques extraits tirés du texte source en procédant ensuite à leur comparaison d avec le texte cible.