Author/Authors :
Ongolo-Zogo, Pierre Université de Yaoundé 1 - Faculté de Médecine et des Sciences Biomédicales - Service de radiologie et imagerie médicale, Cameroun , Mbede, Maguy Université de Yaoundé 1 - Faculté de Médecine et des Sciences Biomédicales - Service de radiologie et imagerie médicale, Cameroun , Kouanfack, Charles Université de Yaoundé 1 - Faculté de Médecine et des Sciences Biomédicales, Hôpital Central de Yaoundé - Unité de médecine interne, Cameroun , Njamnshi, Alfred K. Université de Yaoundé 1 - Faculté de Médecine et des Sciences Biomédicales, Hôpital Central de Yaoundé - Unité de médecine interne, Cameroun
Abstract :
L’encéphalite toxoplasmique (ET) représentait l’une des premières infections opportunistes du système nerveux central au début de la pandémie du VIH/SIDA. Les mesures combinées de prévention et l’accès élargi aux thérapies antirétrovirales (ARV) ont réduit l’incidence de cette parasitose ubiquitaire sauf en Afrique sub-saharienne où plus de la moitié des personnes infectées ignore encore son statut sérologique. Parce que les aspects scanographiques demeurent essentiels dans le diagnostic présomptif de cette urgence neurologique curable dont la clinique est polymorphe, nous illustrons cinq cas typiques observés à Yaoundé.
NaturalLanguageKeyword :
encéphalite toxoplasmique , VIH , Sida , scanographie , diagnostic , évolution