siela, koné université nangui abrogoua - laboratoire de protection des végétaux et de l’environnement, ufr sciences de la nature, Côte d’Ivoire , dagnogo, mamadou université nangui abrogoua - laboratoire de protection des végétaux et de l’environnement, ufr sciences de la nature, Côte d’Ivoire , allou, kouassi centre national de recherche agronomique (cnra) - laboratoire de phytopathologie et entomologie à la station marc delorme, Côte d’Ivoire

ÉVALUATION DE L’IMPORTANCE DES ATTAQUES D’ANALEPTES TRIFASCIATA (COLEOPTERA: CERAMBYCIDAE) DANS DES PLANTATIONS DE CAJOU EN CÔTE D’IVOIRE

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L’étude sur l’évaluation de l’importance des attaques d’Analeptes trifasciata (Coleoptera : Cerambycidae) a été menée dans 4 plantations de cajou de la zone de Katiola en Côte d’Ivoire. On a noté le plus faible taux d’attaque à Kéminkaha avec 55,11 % d’arbres attaqués et le fort taux d’attaque à Mehankaha avec 95,50 %. Puis, on a observé que les nombres moyens de branches attaquées, puis coupées par arbre ont été également importants. Les moyennes des branches attaquées d’une plantation ont variés d’une plantation à une autre de 9,03 branches attaquées par arbre à 17,75. Puis, les nombre moyens de branches coupé par arbre ont variés 3,38 à 5,97. Cette étude a également montré que les premiers insectes ont émergés dans les plantations en Avril, puis y ont demeuré jusqu’en Janvier. Après l’émergence, les attaques des insectes n’ont été que des prises alimentaires sur les jeunes rameaux de l’anacardier jusqu’au mois de Septembre. A partir de Septembre, les attaques ont été des coupes de branches jusqu’à janvier avec une activité de coupe très intense en Décembre.

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Analeptes trifasciata , insecte , anacardier , cajou

Revue Ivoirienne des Sciences et Technologie

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