Author/Authors :
ghozlani, imad 1er centre médico chirurgical des far - service de rhumatologie, Maroc , ghozlani, imad université cadi ayyad - faculté de médecine et de pharmacie, Maroc , bouzerda, abdelmajid 1er centre médico chirurgical des far - service de cardiologie, Maroc , bouzerda, abdelmajid université cadi ayyad - faculté de médecine et de pharmacie, maroc , mounach, aziza hôpital militaire d’instruction mohammed v - service de rhumatologie, Maroc , mounach, aziza université cadi ayyad - faculté de médecine et de pharmacie, Maroc , ghazi, mirieme hôpital militaire avicenne - service de rhumatologie, Maroc , ghazi, mirieme université cadi ayyad - faculté de médecine et de pharmacie, Maroc , kherrab, anass université cadi ayyad - faculté de médecine et de pharmacie, Maroc , kherrab, anass hôpital militaire avicenne - service de rhumatologie, Maroc , niamane, radouane hôpital militaire avicenne - service de rhumatologie, Maroc , niamane, radouane université cadi ayyad - faculté de médecine et de pharmacie, Maroc
Abstract :
L’atteinte cardiovasculaire au cours des spondylarthrites (SpA) n’est pas rare. En effet, les pathologies cardiovasculaires (CV) représentent la première cause de décès dans 40 % des SpA. Si les facteurs de risques classiques incluant l’inflammation, le profil lipidique, le syndrome métabolique, le tabac et les effets des traitements sont de mieux en mieux cernés, d’autres marqueurs sont récemment découverts et dont l’implication dans la survenue d’une atteinte CV est actuellement établi. Certes, on dispose actuellement d’un arsenal thérapeutique permettant une prise en charge optimale des spondyloarthrites. Cependant, la détection de ces nouveaux marqueurs doit rester un centre d’intérêt dans le management des malades atteints de ce rhumatisme inflammatoire chronique.